Il était une fois un dieu du poker, descendu tout droit de l’Olympe des cartes : Kratos.
Armé de ses jetons et de sa rage légendaire, il a pulvérisé tout ce qui bougeait sur la table lors de la manche 8 du championnat n°1.
Les adversaires ? Balayés.
Les bluffs ? Démasqués.
Les bad beats ? Domptés.
Mais il reste un mystère que même le Dieu de la Guerre ne peut résoudre : prendre la grande blinde. À croire qu’elle est protégée par un sort antique ! À chaque tour, Kratos l’annonce fièrement — « Je prends ta grande blinde ! » — et à chaque fois, le destin (ou le bouton) lui répond : « Pas aujourd’hui, mortel. »
Heureusement, pas besoin d’être de grosse blinde pour être grand vainqueur. Avec cette victoire, Kratos prouve qu’au poker, les dieux ne dorment jamais (ils slowplayent). ♠️🔥
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